Des pistes pour soulager ou traiter un Covid long

Des pistes pour soulager ou traiter un Covid long

Pour lutter contre le Covid Long voici un arsenal de molécules potentiellement d’intérêt. Parlez-en à votre médecin.

Jean-Marc Sabatier (DR)

Jean-Marc Sabatier (DR)

Par Jean-Marc Sabatier

À ce jour, il apparait qu’il existe plus de 2 millions de personnes souffrant de symptômes post Covid (ou séquelles post-Covid) en France, suite à une infection au virus SARS-CoV-2, voire, dans certains cas, suite à une vaccination. Ces troubles, plus ou moins invalidants selon les personnes, sont associés au Covid long. Ainsi, il apparait utile de donner des pistes thérapeutiques afin de les soulager. La « sensibilité » à ces traitements est très variable suivant les individus. Il est important de mentionner que -dans tous les cas- ces divers traitements potentiels doivent être ordonnés et suivis par votre médecin.

Dans l’arsenal anti-Covid long, il existe des plantes et champignons (ainsi que leurs extraits) qui paraissent d’intérêt potentiel (il ne s’agit pas d’une liste exhaustive) :

  • Artemisia annua (elle contient naturellement de la quercétine)
  • Ginko biloba
  • Aloe vera
  • Curcuma longa
  • Nigella sativa (cumin noir)
  • Glycyrrhiza glabra (réglisse)
  • Panax ginseng
  • Labiatae Ravintsara (Cinnamomum camphora)
  • Thé vert
  • Berberine
  • Rei shi

Certains composés et/ou molécules sont également potentiellement d’intérêt:

  • Vitamine D (intérêt avéré !) ; pour un effet optimal, celle-ci peut être associée au zinc, magnésium, vitamine K2, vitamine C liposomale, omega-3, sélénium, glutathion et/ou N-acetyl-Cystéine (NAC)
  • Mélatonine (inhibiteur du système rénine-angiotensine)
  • Citrate de sildénafil ou Viagra (vasodilatateur inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5)
  • Anti-hypertenseurs : sartans (antagonistes du récepteur AT1R) et inhibiteurs de l’enzyme de conversion (inhibiteurs ECA, dont le Captopril)
  • Quercétine (inhibiteur de système rénine-angiotensine)
  • Bêta-bloquants (antagonistes compétitifs spécifiques des récepteurs bêta-adrénergiques)
  • Aspirine (anti-inflammatoire non stéroïdien AINS, antalgique, anti-pyrétique, anti-agrégant plaquettaire)
  • Prednisolone (anti-inflammatoire stéroïdien)
  • AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens, anti-prostaglandines, inhibiteurs de la cyclo-oxygénase COX)
  • Azithromycine (macrolide antibiotique possédant des propriétés antivirales)
  • Clarithromycine (macrolide antibiotique)
  • Dexaméthasone (corticoïde synthétique anti-inflammatoire et inhibiteur du système rénine-angiotensine)
  • Cetirizine ou Kétotifène ou Clarityne (anti-histaminique H1)
  • Famotidine (anti-histaminique H2)
  • Naltrexone (antagoniste de récepteurs opioïdes)
  • Naloxone (antagoniste des récepteurs TLR4 et opioïdes)
  • Cromoglycate de sodium (anti-allergique stabilisateur de mastocytes)
  • Niacine et nicotinamide (vitamine B3 ou PP), cofacteur d’oxydoréduction du métabolisme des glucides, lipides et protéines
  • Maraviroc (antagoniste compétitif du récepteur CCR5)
  • Pravastatine (statine : hypolipémiant et inhibiteur de la 3-hydroxy-3-méthylglutaryl coenzyme A)
  • Montelukast (anti-asthmatique de la famille des anti-leucotriènes)
  • Donepezil (anti-cholinestérasique contre des troubles neurologiques)
  • Ivermectine (plusieurs activités dont l’inhibition du système rénine-angiotensine)
  • Hydroxychloroquine (pour ses propriétés anti-inflammatoires)
  • Fluvoxamine (inhibiteur de la recapture de sérotonine)
  • Propolis (pour ses propriétés antimicrobiennes, anti-inflammatoires et antioxydantes)

Pour rappel, ces composés sont mentionnés à titre indicatif. Parlez-en à votre médecin en cas de Covid long.

Source initiale

Données EudraVigilance – Novembre 2022 – Déclarations suite à vaccination

Données EudraVigilance – Novembre 2022 – Déclarations suite à vaccination

Mise à jour de la base de données EudraVigilance au 11 novembre 2022.

Tous les décès associés à tous les vaccins par an

Evénements indésirables graves : nombre de déclarations par an pour tous les vaccins

Effets indésirables graves de tous les vaccins de 2010 à 2022 - rapports EudraVigilance

Myocardites + péricardites, nombre de déclarations par an pour tous les vaccins

Myocardites + péricardites, nombre de notifications par an pour tous les vaccins de 2010 à 2022 (11/2022)

Troubles de la menstruation, nombre de déclarations par an pour tous les vaccins

Troubles de la menstruation, nombre de notifications par an pour tous les vaccins de 2010 à 2022 (11/2022)

Maladie de Creutzfeldt-Jakob, nombre de déclarations par an pour tous les vaccins

Pour rappel, la catégorie “autres” en vert comprend tous les autres vaccins (non covid).

Les données brutes sont disponibles ici, ainsi que les méthodes utilisées.

Died Suddenly




Le docu #DiedSuddenly a fait beaucoup de bruit, je vous fais un #résumé.

 

On commence par des interviews d’employés de pompes #funèbres qui témoignent d’avoir trouvé des caillots fibreux extrêmement longs, du sang avec des grains, comme une microcoagulation.

 

Plusieurs témoins dans l’#armée US, le lieutenant médecin #Theresa Long témoigne d’avoir observé de nombreux #AVC, myocardites, #péricardites, progression de tumeurs #cancéreuses et de #caillots sur des #soldats.
Ils parlent de militarisation de système de la santé.

 

L’avocat Thomas #Rent parle d’augmentation de fausses couches de 300% sur la moyenne de 5 ans, le Dr #Ryan Cole parle d’augmentation de cancers, réactivés. Augmentation de problèmes neurologiques qui affectent les pilotes aussi… Baisse de #fertilité qui nous amène à la théorie de la #dépopulation.

 

Le refus des gouvernements du monde entier de considérer les effets secondaires, les attaques contre les critiques sont telles qu’on en arrive à considérer la question. #Kissinger sur le fait de réduire la population mondiale, #Bill Gates au TED talk sur le même sujet pour sauver la planète du CO2, etc etc…

 

Ils font le lien avec les idées reprises dans l’#Agenda2030 et le WorldEconomicForum de Klaus Schwab, son GreatReset. Bref rappel de l’#Event 201, la guerre de 5e génération, MKUltra et Mockingbird. Propagande et pression des gouvernements pour se vacciner.

 

“En fait, personne ne veut vraiment savoir ce qu’il y a dans les #vaccins. Le public ne veut pas savoir non plus”. Steve #Kirsch a averti plus de 300 personnes au CDC sur les données constatées d’effets secondaires, et personne ne lui a répondu, y compris la responsable de sécurité des vaccins. II cite notamment les dernières données en Israël. Aux US, 14.000 décès sont signalés dans la vase de données VAERS, il pense qu’on peut supposer une sous déclaration d’un facteur 100, soit au pire 1.4 million de morts si on extrapole.

 

C’est bien qu’ils aient mis l’extrait du #Parlement européen qui a fait admettre à #Pfizer qu’ils n’ont pas testé les vaccins sur la #transmission. Tout ça mis en parallèle avec les #médias qui martelaient que le vaccin était le seul moyen d’arrêter l’épidémie. Maintenant ils font machine arrière là dessus.

 

#Conclusion du docu: plusieurs pensent que le vaccin est une arme #biologique avec l’intention de réduire la #population mondiale, ces vaccins ont été mis en place par une opération psychologique pour les faire accepter.

#Mon avis: docu efficace, images sanglantes des caillots, soyez prévenus. Beaucoup de témoignages, ça manque de sources (j’ai la plupart des sources mais pour une personne lambda ça peut être beaucoup à accepter/chercher). J’aurais aimé plus d’analyse sur le lien entre la spike et les caillots.

 

Il y a une erreur semble-t-il, sur cette vidéo d’opération sur la fin avec un caillot, qui daterait d’avant le Covid. Donc attention sur ce point (et c’est sanglant, n’allez pas voir https://www.youtube.com/watch?v=JQ7aojMamSU)

 

Sur la fin avec des vidéos de gens s’écroulant, à la télévision, dans le métro, en conduisant un bus… Flippant, mais je comprends qu’il faut un facteur #choc, mais on n’a pas de preuve que tous sont dus aux vaccins, ce sera facile pour nos détracteurs. Quelques petites erreurs de sous-titres en FR (mais merci aux sous-titreurs) si vous avez d’autres versions, mettez les dans les commentaires. 🙂

 

Leur message est que nous devons en parler, que nous pouvons nous rassembler “pour empêcher que l’humanité soit détruite”. Donc je partage.”

Momotchi

  • Parce que jamais auparavant une (des) inoculation n’avait fait autant de dégâts.
  • Parce que que la “ScienceTM” et utiliser l’humain comme cobaye et ce, avec des technologies non stables n’apporteront jamais leurs fruits et donc la sécurité.
  • Parce que nous nous devons, même si nous même, ne sommes pas diretement touchés de ce devoir; partager l’information du fait du business et des morts à travers des décisions impropres et non scientifiques mais uniquement politiques…

PrimumNonNocere

Version anglaise :

Claude Escarguel, microbiologiste : “Le traitement en phase précoce marche !” – Debriefing

Claude Escarguel, microbiologiste : “Le traitement en phase précoce marche !” – Debriefing

Debriefing du microbiologiste Claude Escarguel, ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux. Il est aussi porte-parole du collectif « AZI-THRO- d’hospitalisation » de 40 médecins qui ont testé le traitement précoce à base d’azithromycine. Il nous parle de son collectif, de sa création, des actions menées auprès des autorités sanitaires qui sont restées sans réponse à ce jour. Il revient aussi sur les pressions subies par certains médecins qui ont soigné leurs malades en prescrivant des antibiotiques en phase précoce. Il aborde enfin la vaccination mettant en perspective les diverses alternatives.

Source : FranceSoir

Traitement ambulatoire patient covid19

La vitamine D renforce la signalisation de l’IFN de type I
chez les patients atteints de la maladie COVID-19

Résumé

La capacité de la vitamine D (VitD) à moduler les réponses antivirales par l’induction de peptides antimicrobiens est bien établie. Cependant, l’effet de la vitamine D sur les réponses de l’hôte au SRAS-CoV-2 n’a pas été bien étudié. Nous rapportons ici la capacité de la VitD à améliorer la signalisation de l’IFN-alpha/beta (a/β) de l’hôte, à la fois in vitro et chez les patients sévèrement atteints du COVID-19 traités avec la VitD. Des échantillons de sang et de salive ont été prélevés chez des patients atteints de COVID-19 sévère, traités (43 patients) ou non (37 patients) par VitD, pendant leur séjour en unité de soins intensifs. Les patients ont été suivis jusqu’à 29 jours après leur admission, et les résultats de survie des patients ont été recueillis. Des niveaux d’activité plus élevés des voies de signalisation RIG-1/MDA-5 et JAK-STAT ont été observés avec des niveaux de gènes et de protéines significativement plus élevés des gènes stimulant l’interféron antiviral (ISGs) tels que MX-1 et ISG-15 ; à la fois in vitro, après le traitement des PBMCs avec la vitD, et dans les échantillons de sang total et de salive des patients traités par la vitD. De plus, les patients traités par la vitamine D présentaient un risque plus faible de mortalité, toutes causes confondues, au jour 29, par rapport aux patients non traités (rapport de risque ajusté, 0,37, intervalle de confiance à 95 % de 0,14-0,94 ; P = 0,038). Le rôle régulateur de la vitamine D sur les IFN de type I, mis en évidence ici, suggère l’importance d’assurer un niveau normal de vitamine D pour la prévention et probablement le traitement de l’infection par le SRAS-CoV-2. Des études mécanistiques supplémentaires sont toutefois nécessaires pour élucider complètement les effets antiviraux de la vitamine D, en particulier dans le cadre de l’infection par le COVID-19.

Introduction

L’immunité innée est essentielle pour contrôler l’infection par le SRAS-CoV-2 ; et les patients dont l’immunité innée est déréglée sont susceptibles de développer une maladie grave1. Les interférons de type I (IFN-α, et β) représentent des éléments clés de l’immunité innée antivirale. Plusieurs rapports ont montré qu’une induction efficace de la signalisation IFN-α/β et les gènes stimulant l’interféron (GSI) qui en résultent sont essentiels pour le contrôle et la résolution de l’infection par le SRAS-CoV-22.

Le SRAS-CoV-2 est reconnu dans le cytosol des cellules épithéliales humaines par des protéines de détection cytosolique à ARN simple brin (ss) (RIG-1 et MDA5)3,4. Cela entraîne ensuite l’activation en aval des facteurs de régulation de l’interféron (IRF)3, ou IRF7, et la production rapide de cytokines IFN α/β, qui présentent une activité antivirale clé, limitant ainsi la prolifération et la propagation virale5. Les cytokines IFN α/β se lient à un récepteur dimérique composé des sous-unités IFNAR1 et IFNAR2, déclenchant ainsi la formation d’un complexe de transcription, l’IFN-stimulated gene factor 3 (ISGF3). L’ISGF3, qui se compose du transducteur de signal et de l’activateur de transcription STAT(1), STAT2 et IRF9 phosphorylés, migre vers le noyau, se lie aux éléments de réponse stimulés par l’interféron (ISRE) et active la transcription des GIS antiviraux6,7,8. Collectivement, l’induction efficace de la signalisation IFN-α/β et des ISGs dans les cellules infectées par le virus est fondamentale pour la réponse antivirale d’un hôte. À ce titre, des études ont rapporté que les patients atteints de COVID-19 présentant un défaut génétique dans la production des cytokines IFN-α/β ou ayant des auto-anticorps qui neutralisent ces cytokines, pourraient souffrir de moins bons résultats cliniques 1,9,10.

ce jour, il n’existe aucun agent antiviral efficace connu et approuvé pour la prise en charge de la maladie COVID-19. Plusieurs rapports ont montré l’efficacité d’un traitement à base d’interféron (IFNβ1a ou IFNβ1b) contre l’infection par le SRAS-CoV-2 dans différents contextes de patients hospitalisés atteints de COVID-1911,12,13. De plus, il a été démontré que le traitement par interféron réduisait la charge virale et améliorait la pathologie pulmonaire dans un modèle de primate non humain d’infection par coronavirus14. Ainsi, la recherche de stratégies thérapeutiques pouvant stimuler les niveaux d’IFN et prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 devient plus importante.

La vitamine D (VitD) est reconnue depuis longtemps comme une vitamine essentielle pour le système squelettique. De nouvelles preuves suggèrent qu’elle joue également un rôle majeur dans la régulation du système immunitaire, y compris l’immunité aux infections virales 15,16. Des études épidémiologiques ont montré qu’une carence en VitD peut conférer un risque accru de grippe et de sévérité du COVID-1917, alors qu’une supplémentation, en revanche, pourrait prévenir la progression du COVID-19 ou la mort 18,19,20. Des études in vitro ont également soutenu le fait que la VitD a des effets antiviraux directs et ont lié cela à la capacité de la VitD à réguler à la hausse les peptides antimicrobiens, y compris la cathélicidine LL-37 et la bêta-défensine humaine 215,21,22. Ici, nous avons montré, in vitro et dans le cadre de patients hospitalisés pour le COVID-19, que le mécanisme antiviral de la VitD peut être lié à sa capacité à augmenter l’immunité IFN de type I de l’hôte en augmentant les activités de la signalisation RIG-1/MDA-5, la voie JAK-STAT, et la signalisation IFN α/β et la production d’ISGs qui en résultent.

Méthode et étude complète.

 

Taux de létalité de l’infection par le COVID-19 stratifié par âge chez les personnes non âgées, renseigné à partir des études nationales de séroprévalence avant la vaccination

Taux de létalité de l’infection par le COVID-19 stratifié par âge chez les personnes non âgées, renseigné à partir des études nationales de séroprévalence avant la vaccination

John Ioannidis

John Ioannidis démontre à nouveau que le SRAS-COV2 n’a jamais été le danger que les médias et gouvernements prétendaient être.

RÉSUMÉ

Il est important d’estimer avec précision le taux de létalité de l’infection (IFR) du COVID-19 chez les personnes non âgées en l’absence de vaccination ou d’infection antérieure, puisque 94 % de la population mondiale a moins de 70 ans et 86 % moins de 60 ans. Lors de recherches systématiques dans SeroTracker et PubMed (protocole : https://osf.io/xvupr), nous avons identifié 40 études nationales de séroprévalence éligibles couvrant 38 pays et disposant de données de séroprévalence avant la vaccination. Pour 29 pays (24 à revenu élevé, 5 autres), des données publiques sur les décès par COVID-19 stratifiées par âge et des informations sur la séroprévalence stratifiées par âge étaient disponibles et ont été incluses dans l’analyse primaire. Les IFR étaient d’une médiane de 0,035 % (intervalle interquartile (IQR) 0,013 – 0,056 %) pour la population âgée de 0 à 59 ans, et de 0,095 % (IQR 0,036 – 0,125 %) pour la population âgée de 0 à 69 ans. La médiane de l’IFR était de 0,0003% pour les 0-19 ans, 0,003% pour les 20-29 ans, 0,011% pour les 30-39 ans, 0,035% pour les 40-49 ans, 0,129% pour les 50-59 ans et 0,501% pour les 60-69 ans. L’inclusion des données de 9 autres pays avec une distribution par âge imputée des décès COVID-19 a donné un IFR médian de 0,025-0,032% pour les 0-59 ans et de 0,063-0,082% pour les 0-69 ans. Les analyses de méta-régression ont également suggéré un IFR global de 0,03 % et 0,07 %, respectivement, dans ces groupes d’âge. L’analyse actuelle suggère un IFR pré-vaccination dans les populations non âgées beaucoup plus faible que celui suggéré précédemment. De grandes différences existent entre les pays et peuvent refléter des différences de comorbidités et d’autres facteurs. Ces estimations fournissent une base de référence à partir de laquelle on peut envisager de nouvelles baisses du RIF avec la généralisation de la vaccination, les infections antérieures et l’évolution de nouveaux variants.

Faits saillants *Dans 31 études nationales de séroprévalence identifiées de manière systématique dans la période précédant la vaccination, le taux médian de létalité de l’infection par le COVID-19 a été estimé à 0,035% pour les personnes âgées de 0 à 59 ans et à 0,095% pour celles âgées de 0 à 69 ans.

*Le taux médian de létalité de l’infection était de 0,0003% chez les 0-19 ans, 0,003% chez les 20-29 ans, 0,011% chez les 30-39 ans, 0,035% chez les 40-49 ans, 0,129% chez les 50-59 ans et 0,501% chez les 60-69 ans.

*Au niveau mondial, le taux d’immunisation avant la vaccination peut avoir été aussi bas que 0,03 % et 0,07 % pour les personnes âgées de 0 à 59 ans et de 0 à 69 ans, respectivement.

*Ces estimations de l’IFR dans les populations non âgées sont inférieures à ce que les calculs précédents avaient suggéré.
Déclaration d’intérêt concurrent

Les auteurs n’ont déclaré aucun intérêt concurrent.

Déclaration de financement

Le travail de John Ioannidis est soutenu par un don sans restriction de Sue et Bob O Donnell. Le travail d’Angelo Maria Pezzullo dans cette recherche a été soutenu par le projet European Network Staff Exchange for Integrating Precision Health in the Healthcare Systems (Marie Skłodowska-Curie Research and Innovation Staff Exchange no. 823995). Cathrine Axfors a reçu un financement en dehors de ce travail de la bourse postdoctorale de la Fondation Knut et Alice Wallenberg (KAW 2019.0561) et des subventions postdoctorales de l’Université d’Uppsala (E o R Borjesons stiftelse ; Medicinska fakultetens i Uppsala stiftelse for psykiatrisk och neurologisk forskning), de la Fondation Suède-Amérique, de la Fondation Blanceflor, de la Société suédoise de médecine et du fonds Marta och Nicke Nasvells. Les bailleurs de fonds n’ont joué aucun rôle dans la conception et la réalisation de l’étude, la collecte, la gestion, l’analyse et l’interprétation des données, la préparation, l’examen ou l’approbation du manuscrit, ou la décision de soumettre le manuscrit pour publication.

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