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Le nouveau scandale sanitaire de l’alimentation transformée

Le nouveau scandale sanitaire de l’alimentation transformée

Christophe Brusset et Jean Joyeux nous informe des problématiques santiaires de tous les aliments ultra transofrmés…

Cancer, dépression, obésité, pertubateurs, addiction aux sucres et féculents (glycémie)… Pertubration métabollique sans micro nutriments essentiels …

polo

Etes-vous en carence ?…

N’hésitez pas à discuter avec un nutrisioniste et votre médecin concernant les aliments transformés ansi que de discuter avec un spécialiste des addictions.

Un cancer BIO ou infractus BIO dû au imposteurs du BIO ?

 #malbouffe : les sodas – snacks type confiserie – dosages – et cetera

#nutrisionniste

Créatine

le tout avec des effets secondaires minimes pour la majorité d’entre eux.

Vous ririez probablement et me diriez que j’invente… Ce n’est pas le cas.

La créatine

🔸La créatine restaure l’ATP
Cela signifie que la fatigue est retardée lors d’une activité physique intense car la cellule est capable de maintenir les niveaux d’ATP plus longtemps.

🔸La créatine phosphate agit comme une batterie : elle réserve l’énergie au moment où elle est nécessaire pour une activité à forte demande physique.
Le groupe phosphate est éliminé et rendu disponible pour la conversion de l’ADP en ATP.

La créatine est l’un des suppléments les plus étudiés et les plus efficaces.
Il s’agit également d’une substance naturellement présente dans notre alimentation et produite par l’organisme à partir d’acides aminés.
Dans l’organisme, elle est principalement fabriquée dans le foie et, dans une moindre mesure, dans le pancréas et les reins.

Dans le foie, la créatine est fabriquée à partir d’autres acides aminés – arginine, glycine et méthionine[1].
La créatine se transforme spontanément en créatinine dans le foie.
La consommation de créatine est donc importante pour remplacer la créatine utilisée.

La créatine joue un rôle majeur dans le stockage et la libération de l’énergie cellulaire. Elle est également impliquée dans d’autres processus biologiques, notamment le maintien de la densité minérale osseuse, l’augmentation de la masse musculaire et peut jouer un rôle dans l’aide à la fonctions cognitives.

Chez les personnes qui mangent de la viande, environ la moitié de la créatine nécessaire quotidiennement se trouve dans l’alimentation, tandis que l’autre moitié est fabriquée dans le foie.
De faibles niveaux d’acides aminés consommés peuvent nuire à la production de créatine, cette situation est fréquente chez les personnes âgées et les végétariens.
C’est particulièrement vrai pour la méthionine, car il s’agit d’un acide aminé essentiel qui doit être apporté au travers de l’alimentation.

En outre, des études indiquent que la teneur en créatine des muscles des hommes adultes végétariens est inférieure de 30 % inférieure à celle des hommes qui consomment de la viande, du poisson et des produits laitiers.

Dans l’organisme, la créatine existe sous forme de créatine phosphate (créatine avec un groupe phosphate) ou sous forme de créatine libre.
Plus de 90 % de la créatine est stockée dans les muscles squelettiques et cardiaques tandis que le reste est stocké dans divers organes, notamment le cerveau, le foie et les reins.

Lorsque la créatine est consommée/supplémentée, les réserves de phosphocréatine sont augmentées. Il s’agit d’une forme d’énergie cellulaire stockée qui aide le corps à produire plus de molécule à haute énergie appelée adénosine triphosphate (ATP).
La créatine kinase catalyse la conversion de la créatine et utilise l’ATP pour créer de la phosphocréatine (également connue sous le nom de phosphate de créatine) et de l’adénosine diphosphate (ADP).

La créatine phosphate agit comme une batterie – réservant l’énergie pour le moment où elle est nécessaire.
Lorsque l’on effectue une activités à forte demande physique, telles que l’haltérophilie ou le sprint, le groupe phosphate est retiré de la créatine phosphate et est mis à la disposition de l’ADP pour être converti en ATP.
ADP en ATP.

La créatine rétablit l’ATP, ce qui signifie que la fatigue est retardée pendant une activité maximale de courte durée (quelques secondes) car la cellule est capable de maintenir les niveaux d’ATP plus longtemps.
Cela signifie que vous pouvez sprinter un peu plus longtemps et/ou soulever des des poids plus lourds un peu plus facilement.

USAGE

La créatine semble être sûre et bien tolérée par la majorité des personnes. Cependant, la créatine est régulièrement (et injustement) assimilée à d’autres drogues destinées à améliorer les performances, comme les stéroïdes, et est donc souvent évitée.

Les gens s’inquiètent notamment de la fonction rénale, principalement parce que la créatine peut augmenter les niveaux de créatinine dans le corps, un marqueur de mauvais fonctionnement des reins.
Toutefois, dans le cadre d’une supplémentation en créatine, une augmentation de la créatinine est le signe d’une augmentation plus importante de la fonction rénale.

La créatinine peut également être observée chez les personnes qui consomment beaucoup de protéines.
Les personnes ayant une masse musculaire plus importante auront naturellement des niveaux de créatinine sérique plus élevés.

Toutefois, chez les personnes souffrant d’une maladie rénale préexistante, des études à plus long terme sont nécessaires sur l’utilisation de la créatine jusqu’à ce que nous ayons plus d’information en ce qui concerne l’innocuité.
Un autre effet secondaire courant de la supplémentation est la prise de poids mais on pense que cela est dû à une augmentation de la masse musculaire et à une augmentation de l’eau corporelle.

Il a également été dit que la créatine pouvait augmenter les niveaux de testostérone.

Cela provient d’une étude portant sur vingt hommes d’âge moyen qui a montré une augmentation de la
dihydrotestostérone sérique de 56% après la phase de charge de la créatine, mais aucun changement dans la
testostérone sérique. Toutefois, ces résultats n’ont pas été répétés dans d’autres études.

DOSAGE

Pour les personnes de taille et de corpulence moyennes, les études suggèrent une supplémentation créatine monohydrate avec une phase de charge de 5 grammes (ou environ 0,3 gramme par kg de poids corporel) environ 4x/ jour pendant une semaine.

Il a été démontré que cela augmentait les réserves de créatine dans le tissu musculaire de 20 % à 40%

Une fois la phase de charge terminée, une supplémentation continue de 0,03 g/kg/jour ou de 3 à 5 grammes par jour pour maintenir des niveaux élevés optimaux.

Des doses plus élevées (jusqu’à 10 g/jour) peuvent être bénéfiques pour les personnes ayant une masse musculaire élevée et une activité intense.
Des doses plus élevées peuvent également être nécessaires pour les personnes qui ne répondent pas aux doses plus faibles.

ENFIN

La créatine est un supplément sûr et essentiel pour ceux qui souhaitent optimiser leur force en salle de sport.
Je la recommande également aux personnes âgées et aux végétariens.
Il existe des preuves des avantages cognitifs lorsque la supplémentation est couplée au sport.
Avant que vous n’alliez tous commander des seaux de créatine en ligne, il est important de noter les différences entre les types de créatine.

Je préconise la créatine monohydrate qui est facilement absorbable dans l’eau.

Gardez en tête que tout ceci ne doit servir que de guide en aucun cas ça ne constitue un avis médical.

Il se peut que vous n’obteniez pas les effets escomptés mentionnés ci-dessus et vous pourriez souffrir d’effets secondaires soyez responsable.

  • Je vous suggère également de
  • Consulter votre médecin avant de commencer si vous êtes inquiet ou si vous souffrez d’un trouble rénal sous-jacent.
  • De boire beaucoup de liquides pendant que vous consommez de la créatine.
  • Commencez lentement et évaluez comment vous vous sentez.

Rappelez-vous que la plupart des avantages sont à long terme et que la supplémentation doit faire partie d’un mode de vie sain.

N’hésitez pas à partager.

Exclusif : ICAN obtient des informations critiques sur le lot de vaccins Moderna COVID-19

Exclusif : ICAN obtient des informations critiques sur le lot de vaccins Moderna COVID-19

Exclusive: ICAN Obtains Critical Moderna COVID-19 Vaccine Lot Information

Il y a un an, l’ICAN a annoncé avoir obtenu des informations sur le lot, la dose et la distribution du vaccin COVID-19 de Pfizer.

L’ICAN est heureux d’annoncer qu’après une année complète de batailles juridiques, ses avocats ont également obtenu des informations sur le lot, la dose et la distribution du vaccin COVID-19 de Moderna.

Comme pour les données de Pfizer, ces données aideront à permettre des analyses pour déterminer si certains lots étaient des « lots chauds » qui ont entraîné des rapports d’événements indésirables plus graves et/ou nombreux.

A year ago, ICAN announced it obtained lot, dose, and distribution information for Pfizer’s COVID-19 vaccine. ICAN is pleased to announce that, after a full year of legal battles, its attorneys have also obtained lot, dose, and distribution information for Moderna’s COVID-19 vaccine. As with the Pfizer data, this data will help enable analyses to determine if certain lots were “hot lots” that resulted in more severe and/or numerous adverse event reports.

En mars 2022, les avocats d’ICAN ont déposé deux demandes FOIA auprès du CDC pour obtenir des informations sur les numéros de lot de vaccins COVID-19 de Moderna, les doses totales administrées, les expéditions de lots et la distribution. Lorsque le CDC a répondu avec des documents fortement expurgés et pratiquement inutiles, l’ICAN a finalement été contraint de porter plainte contre le CDC et le HHS.

Finalement, le CDC a accepté de produire les données Moderna non expurgées et l’ICAN a récemment reçu le dernier lot de données. L’ICAN est heureux de mettre ces données à la disposition du public.

Nous savons d’après les données du VAERS que certains lots de vaccins Moderna semblent être responsables d’un nombre disproportionné de décès et de blessures signalés. Mais sans connaître le nombre total de doses expédiées par lot, il était impossible de connaître la vérité. Désormais, comme pour le vaccin Pfizer, le public aura pleinement accès à ces données vitales et pourra faire les analyses que notre gouvernement n’a malheureusement pas réussi à faire lui-même.

Vous pouvez télécharger les données Moderna ici.

In March 2022, ICAN’s attorneys filed two FOIA requests with CDC seeking information on Moderna’s COVID-19 vaccine lot numbers, total doses administered, lot shipments, and distribution. When CDC responded with heavily redacted and virtually useless documents, ICAN was ultimately forced to file suit against CDC and HHS.

Eventually, CDC agreed to produce the unredacted Moderna data and ICAN has recently received the final batch of data. ICAN is pleased to make this data available to the public.

We know from VAERS data that certain Moderna vaccine lots appear to be responsible for a disproportionate number of reported deaths and injuries. But without knowing the total number of doses shipped per lot, it was impossible to know the truth. Now, as with the Pfizer vaccine, the public will have full access to this vital data and can do the analyses that our government has unfortunately failed to do itself.

You can download the Moderna data here.

See below for more examples of ICAN’s work in demanding truthful information about COVID-19 vaccines:

Suisse : Maladie en hausse et natalité en baisse – Chiffres et statistiques

Suisse : Maladie en hausse et natalité en baisse – Chiffres et statistiques

L’analyse des statistiques officielles bouscule les idées reçues sur la dangerosité du Covid, et montre des évolutions saisissantes suite aux campagnes vaccinales. Notamment les cancers, myocardites, AVC chez les moins de 40 ans et les enfants.

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Viviane Cuendet, enseignante, est venue présenter devant le Conseil Scientifique Indépendant (CSI) les statistiques suisses qui montrent une augmentation massive de diverses maladies et une forte baisse de la natalité de 2020 à 2023. Les jeunes, les enfants et les femmes semblent les plus impactés par ce phénomène que tout ramène aux injections Covid. Plusieurs idées reçues sur la pandémie sont également bousculées.

Les milieux critiques des mesures officielles contre le Covid s’étonnent que les autorités sanitaires, ainsi que les milieux politiques, scientifiques et médiatiques restent silencieux face à des chiffres aussi spectaculaires que difficiles à nier.

Tous les graphiques et plus d’informations se trouvent dans le document pdf en fin d’article

Le mythe d’une pandémie mortelle

Viviane Cuendet a passé les dernières deux années à traduire bénévolement en français les publications et présentations de Real Data Hero, un canal d’information allemand sur les données statistiques liées au Covid, ainsi que d’autres vidéos qu’elle diffuse sur son canal.

« Comme Pierre Chaillot l’a montré pour la France, la réalité de la mortalité Covid en Suisse est fort différente de l’image dramatique assénée par les politiciens et les médias. » Viviane Cuendet

Sa démonstration débute par un tableau (voir ci-dessous) montrant les taux de mortalité classés et ajustés en fonction de l’évolution démographique de 2010 à 2022 par tranche d’âge de 5 ans. Pour chaque tranche d’âge (ligne), il y a une valeur rouge, qui représente l’année la plus mortelle, et une valeur verte, qui représente la meilleure année.

Un constat s’impose : l’année 2020 était une année normale, classée 5e sur ces treize années, qui a suivi une année 2019 où la mortalité était particulièrement basse. Il serait impossible de déduire à partir de ce tableau qu’une quelconque épidémie mortelle ait eu lieu en 2020.

Où sont donc les milliers de morts Covid annoncés en Suisse, qui ont été présentés comme des morts supplémentaires dûs au virus ? Ce tableau démontre qu’ils ont été absorbés dans la mortalité usuelle et que sont morts avec un label Covid en grande majorité des personnes en fin de vie ou déjà gravement malades.

Il faut rappeler qu’il suffisait d’avoir été testé positif au SARS-CoV-2 pour alimenter le compteur des décès Covid, peu importe les autres maladies, peu importe si la personne était symptomatique. Cette manière de faire avait pourtant déjà fait débat, notamment suite à une intervention télévisée du Conseiller fédéral suisse Ignazio Cassis.

« Visuellement, s’il avait fallu déclarer une urgence sanitaire, cela aurait dû être en 2010. » Viviane Cuendet.

Nombre record d’effets indésirables en 2021

50.4 fois plus d’effets indésirables suite à une vaccination Covid ont été annoncés en 2021 que la moyenne des dix dernières années en Suisse, tous vaccins confondus.

Comment les autorités et les grands médias ont-ils pu passer à côté d’une information aussi importante sur le déroulement de cette pandémie qui occupait la majorité de l’espace médiatique ? À l’heure où ces chiffres étaient connus, les autorités continuaient d’affirmer que le vaccin Covid était « sûr ».

Un biais méconnu est à mentionner ici : seulement entre 1 et 10% des effets indésirables des vaccins sont déclarés. On peut donc multiplier le nombre d’effets indésirables remontés par un chiffre entre 10 et 100 pour obtenir le nombre réel.

Cette sous-annonce est due à plusieurs facteurs : le personnel médical n’est pas rémunéré pour cette tâche qui demande un grand travail administratif et la grande résistance psychologique du corps médical à admettre un potentiel dégât d’une mesure qu’ils ont prônée.

Même si le lien de cause à effet ne doit pas être établi pour annoncer un effet indésirable et que le déclarer est une obligation légale, notre rédaction connaît des cas de médecins qui refusent de le faire, peut-être par peur d’une quelconque responsabilité.

Ceci étant, les injections Covid semblent avoir déclenché un nombre inédit de troubles de la santé, dont certains graves qui changent durablement la vie des personnes concernées.

Surmortalité chez les 20-29 ans

La seule tranche d’âge pour laquelle la mortalité a été record sur les treize dernières années est celle des 25 à 29 ans, en 2021.

Viviane Cuendet a retrouvé les statistiques précises de l’écart entre la mortalité attendue et la mortalité effective. Ces chiffres montrent qu’il y a une corrélation entre l’augmentation du nombre de décès et le nombre de doses vaccinales administrées (voir le graphique ci-dessous).

Comme on sait également que la santé psychologique de la population s’est extrêmement dégradée durant cette période qui a été marquée par la discrimination d’un tiers des citoyens non vaccinés contre le Covid, on ne peut pas exclure que ce soit le nombre de suicides qui se soit cumulé avec les décès post-vaccinaux pour expliquer cette situation hors normes.

Baisse persistante de la natalité

Pour 2022, la natalité en Suisse est inférieure de 8,5% par rapport à 2020 et de 6% par rapport à la moyenne de 2018 à 2021 alors que le nombre de femmes en âge de procréer est resté stable.

Nous avions déjà traité à plusieurs reprises ce sujet dans nos colonnes, le graphique le plus marquant étant certainement celui reproduit ci-dessous et qui montre qu’avant le début des campagnes de vaccination, il n’y avait pas de fluctuation aussi marquée des naissances, également que cette fluctuation est fortement corrélée au nombre de doses administrées dans les tranches d’âge concernées.

Ceci permet d’éliminer tout facteur psychologique comme explication de cette baisse – on aurait dans ce cas dû observer non pas une baisse mais une augmentation des naissances, vu que les vaccins Covid étaient présentés comme la solution à la crise.

Les chiffres de la natalité disponibles pour 2023 montrent que cette tendance persiste.

Pour rappel, la vaccination des femmes enceintes reste prônée, malgré la controverse des données manipulées que nous avions décrite dans un autre article. Nous avions contacté à l’époque les autorités sanitaires du Canton de Genève qui n’ont à ce jour toujours pas changé leurs directives.

Considérer les femmes enceintes comme des personnes à risque par rapport au Covid s’avère de plus démenti par les chiffres officiels. En effet, lors de l’année d’émergence du Covid (2020), le taux de mortinaissances était inférieur (0.37%) à celui de l’année du Covid (2021, 0,44%). Les mortinaissances spécifiques aux grossesses in vitro ont augmenté de 65%, probablement car la vaccination Covid devait être une condition sine-qua-non à un processus in vitro (voir graphique ci-dessous, l’année 2020 est représentée avec un grand coronavirus, l’année 2021 avec une seringue pour les vaccinations et un petit coronavirus, car la population était pratiquement complètement immunisée et le variant était moins dangereux).

Pourquoi les autorités ignorent de tels signaux d’alarme ? Certaines voix critiques estiment que c’est parce que ce sont ces mêmes autorités qui ont prôné la vaccination et qu’elles n’agissent actuellement plus dans le sens de l’intérêt général, pour ne pas devoir s’expliquer ou assumer. Il manque dans ce système une autorité de surveillance indépendante.

Occupation des lits hospitaliers

Avant d’entrer dans le thème plus grave des maladies, Viviane Cuendet se penche sur les statistiques d’occupation des lits hospitaliers de 2020 à mai 2023. La première chose qui saute aux yeux est que la situation actuelle en 2023 est bien pire (en terme de lits disponibles et de soins hors Covid) que lors de la pandémie. Pour rappel encore, il suffit d’être testé positif au SARS-CoV-2 pour être compté comme une hospitalisation Covid, même si l’on est hospitalisé pour une autre raison.

Dégâts vaccinaux et hospitalisations sous la loupe

L’enseignante a recherché dans environ 300’000 lignes de données statistiques pour comparer l’évolution de certaines causes d’hospitalisation en Suisse sur six années (2016 à 2021), grâce aux codes diagnostics. Elle s’est concentrée sur les codes qui sont officiellement admis comme étant des effets indésirables des injections Covid. Cette approche représente exactement ce qui se passe dans la réalité, est beaucoup plus fiable que les modélisations qui sont souvent présentées pour affirmer l’innocuité des vaccins Covid.

Une bonne partie des graphiques ci-dessous concernent la tranche d’âge des 15 à 39 ans. En Suisse, 50% des 10 à 19 ans ont reçu au moins une dose, 73% chez les 20 à 29 ans et 74% chez les 30 à 39 ans. Cette tranche d’âge a augmenté de 0,17% de 2020 à 2021.

Qui a connu le plus d’effets indésirables ?

Les données officielles à disposition permettent de voir que la tranche d’âge des 18 à 44 ans est celle qui a supporté le plus d’effets indésirables post-vaccinaux en Suisse. À l’heure d’écrire cet article, pas moins de 16 855 effets indésirables ont été annoncés, soit environ 1 effet pour 1000 doses. 38% d’entre eux sont des effets indésirables graves.

Viviane Cuendet rappelle que cette tranche d’âge n’aurait pas dû être soumise à une mesure sanitaire qui ne lui bénéficiait pas, alors que l’âge moyen des décès Covid se situait autour de 84 ans. Les chiffres montrent également que les femmes représentent 61,5% du nombre total recensé.

Myocardites

Les autorités sanitaires suisses continuent en 2023 d’affirmer sur leur site internet que les « myocardites et péricardites sont plus rares après l’injection d’un vaccin à ARNm qu’après une infection ».

Cette affirmation semble absolument contraire aux chiffres officiels, qui montrent une augmentation de 99% d’hospitalisations dues à des myocardites non pas l’année du virus seul, mais bel et bien l’année de la vaccination Covid, en 2021, pour les 15 à 39 ans.

Cancers

Le nombre d’hospitalisations pour des cancers a toujours été très stable de 2016 à 2020, comme le montre le graphique ci-dessous pour les 15 à 39 ans. Seule l’année 2021 montre une anomalie avec des augmentations allant de 26 à 240% suivant les types de cancers (pour les détails, voir le document pdf en fin d’article).

L’augmentation cumulée pour les cancers en 2021 se monte à 54% par rapport à la moyenne de 2016 à 2020.

Flambée de tumeurs malignes chez les 0-14 ans

Viviane Cuendet a également recherché les taux d’hospitalisations pour des tumeurs malignes chez les 0 à 14 ans. Les chiffres qu’elle a trouvés semblent choquants.

Le taux de vaccination de cette tranche d’âge est difficile à déterminer car les chiffres officiels disponibles concernent les 0 à 9 ans qui sont vaccinés à hauteur de 3,71% et ceux de 10 à 19 ans qui sont vaccinés à hauteur de 50,43%. Il est probable que la plus grande partie des vaccinés de cette tranche soient les 18 à 19 ans et que les 0 à 14 ans ne soient vaccinés qu’à hauteur d’environ 10% au maximum.

Une augmentation de 249% s’est produite l’année des vaccinations Covid. L’impact des vaccins Covid à ARN messager semble beaucoup plus fort chez les enfants que chez les adultes, c’est d’ailleurs ce qui avait poussé certains pays à cesser de les recommander aux moins de 40 ans.

Et ceci alors qu’une petite fraction de cette tranche d’âge a été effectivement vaccinée. Probablement ceux qui étaient considérés à risque. D’après ces chiffres, la tendance générale qui se dessine est que les vaccins Covid n’ont pas amélioré leur santé globale, au contraire, et une enquête officielle semble plus que jamais nécessaire pour le déterminer, vu que ces vaccins sont toujours disponibles pour cette classe d’âge.

Atteintes du système nerveux

Les atteintes du système nerveux sont le deuxième effet indésirable le plus important après les réactions locales. Une augmentation de 25% est observée pour ces troubles qui sont en général lourds de conséquences.

Maladies auto-immunes

Viviane Cuendet rappelle que Swissmedic, l’organe qui autorise la mise sur le marché de médicaments en Suisse, s’était inquiété en janvier 2021 dans une lettre adressée à Moderna que « la large diffusion de l’ARNm codant pour la protéine spike du SARS-CoV-2 peut également se produire chez l’homme et ouvrir la voie à divers troubles auto-immuns spécifiques à des organes. Ces troubles présentent généralement une longue phase pré-symptomatique. »

Le grand public n’a pas été informé de ce risque et les effets à long-terme ont été niés alors que dans les coulisses, Swissmedic connaissait ce risque.

L’organe de contrôle des médicaments s’était alors contenté de la réponse de Moderna qui lui avait dit que que l’entreprise évaluait « la faisabilité des propositions parrainées par des investigateurs » et qu’elle fournirait « des informations actualisées à Swissmedic dès qu’elles seront disponibles. »

Une chose est certaine, ces informations n’ont jamais été rendues publiques, on ne sait même pas si Swissmedic les a reçues.

Au total, comme le montre le graphique ci-dessous, une augmentation de 40% est observé pour ces maladies. L’enseignante rappelle que « les maladies listées ne sont pas forcément plus bénignes qu’un Covid, que le vaccin ne permet d’ailleurs pas d’éviter ».

Concernant les 0 à 14 ans, Viviane Cuendet a trouvé une augmentation anormale (+477%) pour la neuromyélite optique, une maladie auto-immune rare, qui fait partie des maladies inflammatoire, démyélinisante du système nerveux central, une maladie qui débute en moyenne à 40 ans. Sans traitement, la perte de la vue ou une paralysie peuvent être définitives.

Hémorragie cérébrale

Une augmentation de 36% est observée en 2021 pour les hémorragies cérébrales, qui ne sont certainement pas dues à des retards de diagnostics.

Grossesse et accouchement

Les codes d’hospitalisations liés à une grossesse ou à un accouchement montrent une dramatique augmentation de 25% en 2021.

Ce sont des hémorragies diverses, des troubles de la coagulation, des infections du sac amniotique et une augmentation de 110% pour les soins au cours de la grossesse pour avortements à répétition.

Divers troubles

11 codes divers représentant des maladies qui ne sont pas bénignes, sélectionnées par Viviane Cuendet, montrent une augmentation de 64% pour les 15 à 39 ans.

L’hypertension pulmonaire (+176%) est à elle seule très inquiétante vu que la mortalité est de 20 à 30% à 3 et 5 ans pour des patients traités, selon le registre français des maladies.

Pour les 0 à 14 ans, on peut aussi relever l’augmentation anormale du nombre de jaunisses (sans les nouveaux-nés) de 900%.

Très inquiétant aussi pour les 0 à 14 ans, le nombre d’hospitalisations pour arrêt cardiaque, embolie pulmonaire ou AVC et infarctus cérébral, qui, après une légère baisse de 2017 à 2020, a augmenté de 125% l’année des vaccinations Covid, dans l’indifférence générale.

Conclusion

Viviane Cuendet affirme en conclusion que même si l’on ne connaît pas le statut vaccinal des personnes touchées, de tels écarts statistiques en 2021 devraient tout de même déclencher des enquêtes de la part des autorités.

« Si corrélation n’est pas causalité, quels facteurs sont responsables de ces augmentations juste en 2021? » Viviane Cuendet

Si les injections Covid sont bien la cause de ces milliers d’hospitalisations supplémentaires – visibles dans les statistiques d’occupation des lits hospitaliers – les pourcentages présentés par l’enseignante seraient donc pires si on ne considérait que la partie de la population vaccinée.

L’enseignante a envoyé ses recherches aux 241 parlementaires au niveau national en Suisse. Lors de de sa présentation au CSI trois semaines plus tard, elle n’avait toujours reçu aucune réponse.

La journaliste Amèle Debey a interpellé l’Office Fédéral de la Statistique (OFS) qui lui a répondu qu’ils n’étaient responsables que de la fourniture de ces chiffres et pas de leur interprétation.

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) a quant a lui a botté en touche en répondant qu’ils n’avaient pas de chiffres concrets qui pourrait confirmer ceux apportés par cette analyse, qu’ils ne contestaient pas ces chiffres, mais n’avaient pas l’indication pour les interpréter.

Pour rappel, l’OFSP dépend directement du Conseiller fédéral en charge de la santé, Alain Berset, qui a tout fait pour que la solution de sortie de la crise soit le vaccin Covid. Ce ministre qui a affirmé haut et fort que les vaccins étaient « sûrs et efficaces » malgré des chiffres qui semblent montrer une toute autre réalité.

Le rôle des médias de service public ne serait-il pas d’informer la population sur ces chiffres pour qu’un débat ouvert puisse enfin avoir lieu ?

Références

Crime contre l’humanité. Dr. Annelise Bocquet et Dr. Typhaine Pinsolle.

Cette vidéo est protégée contre la censure.
Thème du jour : “La SPIKE, le crime parfait ?” L’essentiel est dit : C’est un crime contre l’humanité planifié, organisé et mise en œuvre par la DARPA et donc du Pentagone américain avec la complicité des gouvernements occidentaux. Au-delà des drames que provoquent ces armes biologiques, il est important d’identifier les coupables et les responsables. Nous pouvons retourner le problème dans tous les sens mais face à des gouvernements criminels, la seule solution possible c’est une insurrection pour arrêter et juger tous ceux qui ont participé à ce crime contre l’humanité. Les manifs pacifistes ne serviront à rien. Préparons-nous mentalement à cette éventualité car ces criminels ne s’arrêteront que lorsque nous les arrêterons.
Handicap et ses catégories

Handicap et ses catégories

Le handicap prend des formes diverses et apparaît à tous les âges, transformant la vie de manière permanente ou ponctuelle. Évolutif ou apparaissant brusquement, il exige des adaptations importantes. Qu’est-ce que le handicap ? Quels sont les types de handicap ? Qu’est-ce que le handicap invisible et qu’est-ce que la loi du 11 février 2005 ?

Définition du handicap

Le handicap traduit la difficulté qu’éprouvent des personnes à vivre normalement dans leur environnement en raison de problèmes physiques, mentaux ou sensoriels. 

Selon la loi du 11 février 2005 sur l’égalité des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, le handicap est “toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant.” 

En 2020, 12 millions de Français souffrent d’un handicap, représentant une personne sur 6, comprenant celles atteintes de handicaps invisibles. Dans le monde, on estime cette population à 1 milliard.

Les différents types de handicap

La loi du 11 février 2005 établit plusieurs familles en France :

  • le handicap moteur : il touche les membres, affectant totalement ou partiellement la motricité, la capacité à accomplir certains gestes. Ses causes sont la maladie, un accident, le vieillissement, une malformation congénitale ou d’ordre génétique. 1,5 % des Français souffrent d’un handicap moteur ;
  • le handicap visuel : les personnes sont malvoyantes ou aveugles, en raison de maladies comme la cataracte ou le glaucome, de leur hérédité ou du vieillissement. Il touche 1,7 millions de Français ;
  • le handicap auditif : causé par la perte partielle ou totale de l’ouïe (surdité), il survient suite à certaines maladies (méningites par exemple), la prise d’un médicament ayant un effet toxique, un accident et un traumatisme. Certains parasites ou virus chez la femme enceinte peuvent causer une surdité de l’enfant. La génétique ou le vieillissement peuvent aussi le déclencher. La personne peut éprouver des difficultés à s’exprimer oralement. 4 millions de Français sont concernés ;
  • le handicap mental, ou déficience intellectuelle : il est caractérisé par un niveau d’intelligence et des facultés, notamment cognitives, insuffisantes. Il affecte la capacité à se mouvoir, s’exprimer et interagir dans un cadre social. Il perturbe la communication, le comportement, l’autonomie. Il survient avant la naissance en raison d’exposition à des facteurs environnementaux (pollution, intoxication, maladies maternelles), lors de traumatismes à la naissance, après la naissance (maladies, accidents) ou une condition génétique. Plus d’un demi-million de Français en souffrent  ;
  • le handicap psychique fait suite à une maladie psychique (dépression, psychose, névrose, addictions…). Le patient a des facultés relationnelles et intellectuelles normales mais son handicap entrave leur exercice. Il est chronique et survient généralement à l’âge adulte. Il touche plus de 350 000 personnes ;
  • le polyhandicap associe différents types de handicaps moteur et mental, avec une forte perte d’autonomie, des difficultés relationnelles et d’expression. Des troubles chroniques l’accompagnent. Ses causes sont prénatales (malformations, génétique), périnatales (souffrance fœtale, prématurité) ou des complications post-natales. Il concerne une naissance sur 1000 ;
  • maladies ou troubles invalidants : il concerne les conséquences de maladies touchant les fonctions vitales, telles l’insuffisance cardiaque, rénale ou respiratoire, le diabète, l’hypertension, les maladies musculaires, du squelette et des articulations, du système immunitaire, le cancer… Elles sont permanentes ou non, à évolution variable et empêchent ou entravent l’activité du patient. 20% des personnes en situation de handicap souffrent de ces maladies.
Les familles de handicap

Les familles de handicap – Source : politiquehandicap.fr

Le handicap invisible

Il résulte de troubles d’ordre physique, psychique, sensoriel ou cognitif, ou de séquelles d’accident. Ce n’est pas une catégorie de handicap mais une appellation regroupant des handicaps classiques causés par les manifestations de ces maladies et leurs séquelles. Il résulte en incapacités, limitation d’activité ou restriction de la participation à la vie sociale.

Certaines maladies chroniques comme le diabète, l’asthme ou des pathologies comme le cancer peuvent causer des handicaps invisibles. Quand les troubles sont d’ordre cognitif, comme la dyslexie, ils entraînent une forte fatigue, de l’anxiété et beaucoup d’incompréhension. Le handicap invisible peut varier au fil du temps et certaines circonstances ou environnement le renforcent ou l’atténuent. C’est le cas pour les maladies psychiques.

Les personnes atteintes de handicap invisible représentent de 80 à 85% des personnes handicapées, soit 10% de la population. Elles font face à de nombreux obstacles liés au manque de visibilité de leur handicap : il fausse la perception de l’entourage, le conduisant à sous-estimer les difficultés ou la réalité des troubles. Elles subissent également un chômage plus important, conduisant de nombreuses personnes à taire leur handicap et renforçant son invisibilité.

Les MDPH (les Maisons Départementales des Personnes Handicapées) accompagnent les personnes en situation de handicap visible et invisible, évaluant leurs besoins et mettant en place des solutions adaptées. Elles attribuent des cartes “mobilité inclusion”, des prestations comme l’Allocation Adulte Handicapé (AAH), l’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé (AEEH), et la PCH (Prestation de Compensation du Handicap). Elles orientent les enfants vers des classes spécialisées, demandent un transport scolaire adapté, des auxiliaires de vie et du matériel pédagogique. Elles soutiennent le parcours professionnel grâce à la RQTH (Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé), la formation spécialisée et l’orientation professionnelle en milieu protégé ou ordinaire.

Handicaps et statistiques en Suisse

On parle de handicap lorsqu’un problème de santé affecte les fonctions et structures anatomiques de la personne, sa capacité à réaliser certaines activités ou ses performances dans son environnement social. Le handicap n’est donc pas seulement un problème biologique, mais également un problème social.

 

 

 

Handicaps
% Personnes
Vue (limitation importante ou complète)1  (2017) 1,1 77 000
Ouïe (limitation importante ou complète)1  (2017) 1,1 78 000
Locomotion (ne peut pas marcher ou que quelques pas)1  (2017) 1,0 67 000
Parole (limitation importante ou complète)1  (2017) 0,4 28 000
Limitation dans les activités habituelles depuis au moins 6 mois pour raison de santé1 (2017)
        Fortement 4,7 331 000
        Pas fortement 20,5 1 436 000
Bénéficiaires d’une rente AI2 (31.12.2019) 217 700

1 Population de 15 ans et plus vivant en ménage privé, Enquête suisse sur la santé 2017
2 Statistique de l’assurance invalidité. Bénéficiaires au 31.12 résidant en Suisse